Dans tes raves je vois des explosions de sens, un gouffre infini et des gens qui mangent le surimi sans mayonnaise. Chez toi, le hâle d'entrée impressionne pourtant. Mais à même la peau, tu te caches la vérité. Ce n'est plus un visage quand on dessine dessus, regarde autour de toi. Ratûré de partout, t'as plus qu'à rester en boîte, c'est là que t'es le mieux finalement, acéré de tous les côtés.
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